À force d’entendre dans les médias qu’un drone s’est craché, qu’il aurait pu faire des blessés et que le pilote n’était pas agrée DGAC, je lance une discussion ouverte sur mon blog…
Avoir une licence pour piloter un drone et être agrée DGAC est à notre avis chose importante pour encadrer la profession, mais, ne serait-il pas plus intéressant de travailler sur des drones moins dangereux pour les prises de vue aériennes à proximité d’un public ?
Un drone qui est mal réglé ou mal monté se crachera avec ou sans licence théorique d’ULM, ne serait-il pas plus intéressant d’obliger les pilotes à effectuer un contrôle technique ou des révisions obligatoires après un certain temps de vole ?
Je lance le débat et attends vos idées ou solutions dans les commentaires ci-dessous.
Une école Suisse à développé un drone incassable, pourquoi ne pas creuser dans cette direction pour sécuriser un drone ?
L’école Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL) à réalisé un drone original avec la particularité de pouvoir se relever en cas de chute :
Le drone est protégé par une structure en fils de fer qui lui permet de rebondir sur les obstacles les plus courants sans handicaper ses capacités aérodynamiques.
Pourquoi ne pas penser et développer un drone avec une armature qui protègerait ou encaisserait le choque en cas de crache ?
Notre article sur le nouveau drone de DJI
Notre article sur dji-nacelle-ronin/gimbal-3-axes
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